Le scottish labour victime de la loi de Murphy

C’est l’épilogue d’une bagarre qui a duré une semaine, Jim Murphy, dirigeant du Scottish Labour Party depuis décembre 2014, lui même battu aux élections générales, n’est pas parvenu à se maintenir à la tête de l’organisation.

Len McCluskey, secrétaire général du syndicat Unite, suivi des syndicats des cheminots, de la communication, estimait que Jim et ses comparses devaient quitter la scène, dans la mesure ou ils étaient les premiers responsables de la déroute du Labour en Ecosse.

Jim Murphy a remporté le vote de confiance de l’appareil du parti, par 17 voix (dont la sienne), contre 14, mais malgré tout il a du se résigner à la démission. Il ne sera pas regretté par les syndicalistes auxquels il reprochait de se mêler de la vie du parti, oubliant un peu vite qui a fondé et financé le Labour.

Le Scottish Labour doit désormais trouver quelqu’un capable de remettre le Labour sur les rails, alors que les élections au parlement Ecossais se profilent en mai 2016.

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